Transcriptions écrites
Le 15 janvier 1997
Mes enfants. Mes enfants, faites de votre demeure un toit pour mon Fils, recevez-le et protégez-le comme votre propre enfant. C’est ainsi que Dieu visitera votre demeure comme vous aurez accepté Son Fils au sein de votre famille. La Bible vous donne le chemin à suivre et les actes qui accompagneront cet accomplissement. Il faut que sur votre porte nous puissions lire : « Cette maison est la tienne et les gens qui l’occupent sont ta famille ». Il vous faut être serviteurs en Sa Maison et en la vôtre car ce qui est à vous appartient à Lui, et ce qui est à Lui vous appartient. Mes enfants, il faut fleurir votre demeure et la parfumer d’encens, qu’elle soit ouverte au Nord, au Sud, à l’Ouest et à l’Est. Il faut qu’elle soit ouverte à tous ceux qui viennent au nom de mon Fils pour le rétablissement et l’Union des hommes. Il vous faudra partager votre pain et votre vin pour nourrir et désaltérer mon Fils ; proposez-Lui votre lit pour qu’Il se repose, offrez-Lui votre Bible pour qu’Il la bénisse et vous enseigne. Mes enfants, c’est ce chemin qui est tracé au travers de chacune de vos demeures et c’est aussi celui que vous évitez. Mes enfants, le temps s’accentue où il fait défaut l’amour entre les hommes, mais où se ravivent la misère, la solitude, la tristesse et l’angoisse. Mes enfants, « Ma Maison » doit être dédiée à l’accueil en premier lieu de ceux qui sont dans la misère, car mon Fils est dans l’attente de ce bras tendu, de cette main ouverte, de ce sourire radieux d’où transpirent l’amour et l’acceptation. Je vous ai demandé l’Union et j’ai vu bien des gens éparpillés avec peu de relations humaines, j’ai vu des gens dans l’attente de la réaction de l’un, de l’autre, personne n’a été meilleur ou pire que son voisin. Je ne vous blâme pas et je vais vous apporter la solution. Relisez l’offrande de votre demeure à mon Fils et mettez-la en pratique au sein de ma Demeure. Ne pensez pas à l’attente de la restitution de ma Demeure, mais agissez pour qu’il en soit ainsi. Je vous ai demandé de faire connaître la Parole de mon Fils, faites-le et d’autres vous suivront ; vous avez par la Bible, le chapelet, le rosaire, les prières, les armes de la réussite Divine, servez-vous en et ensemble préparez, discutez, solutionnez et mettez en pratique l’enseignement qui vous est octroyé. Ce que vous faites envers mon Fils, vous le faites aussi envers le Père Eternel et ainsi Sa Miséricorde et Son Pardon retombent en abondance sur les hommes. Nous sommes présents sans cesse avec vous, vous en connaissez la présence et l’efficacité, nous attendons votre Amour et votre Paix, nous attendons que vous veniez chercher mon Fils pour le faire asseoir à votre table et Lui proposer le couvert et le gîte et Il vous assistera dans votre travail. Ce que vous faites, offrez-le à mon Fils afin que tous, vous viviez en Paix de votre travail journalier. Plus vous serez nombreux et plus vous aurez de facilité à écouter, enseigner, accepter, aimer, soulager, soutenir, accompagner, engendrer et vivre en union. Ma parole n’est ni terne, ni empreinte de mensonges, elle ne dévoile qu’une partie de ce que vous devez connaître et en temps utile. Les actes de la vie sont modulables selon vos réactions d’Amour et de Paix, selon vos Prières. La foi étant la part essentielle à la réalisation de ce que Dieu désire pour vous, sachez aimer et prier Dieu le Père selon ses mérites. Accordez-Lui votre foi sans le doute et l’attente s’estompera et le monde se réalisera à Son image. Il faut reprendre les messages ainsi que les événements de la vie, la corrélation est très étroite et réelle, la vérité est souvent flagrante mais votre esprit est trop souvent accaparé par le matériel. Il n’est point une faute à mes yeux que votre réaction, mais seulement une embûche sur le chemin de votre enseignement et de votre compréhension. S’il n’en était rien, je ne serais plus à vos côtés et à côté de personne. Pour ceux qui croient que l’on peut impunément bafouer les sacrements de l’Eglise de mon Fils, qu’ils se détrompent, car ils encourent un châtiment grave. En effet si Dieu le Père vous permet et vous accorde en tant que Père l’alliance en son sein de deux êtres de chair, il n’est pas autorisé à ceux-ci, envers l’engagement réciproque qu’ils se sont accordés, de convoler en dehors de l’unité familiale. C’est une injustice envers l’époux et l’épouse et c’est renier la Bénédiction Divine. C’est envisager une action d’entente avec le démon afin de déstabiliser l’unité des hommes. Si vous ressentez, mes enfants, au plus profond de vous-mêmes, si vous avez la certitude de la guérison et si vous la vivez en votre esprit, ne comptez ni le temps ni les maux qui y sont liés. Venez louer et adorer ; remerciez le Dieu Eternel de Ses grâces et apprenez à chacun que la guérison passe d’abord par l’esprit pour guérir votre corps. Mes enfants, personne n’est indigne de la guérison, mais vous hésitez à la recevoir. Ouvrez-vous et vous recevrez la douce chaleur du renouveau, vous serez libres et aimants. La Paix sera insufflée dans votre esprit pour que vous la viviez au travers de chaque acte et pensée de votre vie. Venez et vous verrez, croyez et vous guérirez, appelez et vous serez secourus, rien n’est impossible à Dieu le Père que vous ne désiriez. Mes enfants, soyez toujours attachés à ce que mon Fils attend de vous, venez et accompagnez-Le, Il vous offrira Son aide et Sa protection. Il est simple de dire oui et de vivre en harmonie Divine, il faut savoir persévérer et demander notre aide, nous sommes là pour vous soutenir et vous guider. Je suis Marie Mère des hommes afin que le monde reconnaisse mon Fils et pour que mon Fils préserve ce monde de sa cupidité. Venez et priez, priez, priez afin que je vienne vous aider et poursuivre la réunification des hommes sur cette terre. Merci de me lire et de prier ; que les fleurs embaument vos demeures !